La journée de la Rencontre

le mardi 30 septembre à l’Ile d’Arz

 

D’abord, on a pris le car et après le bateau. Il y avait des bancs dans le bateau et aussi des bouées de sauvetage. Quand on est arrivé à la gare maritime, il y avait du brouillard.

Pour monter dans le bateau, on a traversé la passerelle. On a chanté dans le bateau «  J’ai trouvé au fond de l’eau » et «  La petite brise ». Enfin, on est arrivé sur l’île d’Arz : il y avait toujours du brouillard !

Le bateau a jeté l’ancre de marine pour s’accrocher.

 

On a marché jusqu’à la plage avec Amélie, notre guide.  Elle nous a montré des coquillages : des moules, des pieds de couteau, des palourdes, des berniques. On a appris avec Amélie qu’il y a des coquillages à une coquille et d’autres à deux coquilles.

Certains coquillages aspirent de l’eau avec deux pailles pour manger comme la palourde, la coque et le pied de couteau. Il y a aussi des coquillages qui mangent ceux qui sont morts avec leur trompe.

Les moules et les huîtres aspirent l’eau de mer : l’eau passe dans la coquille , la nourriture de l’eau reste et l’eau ressort par derrière.

La patelle ( la bernique)  broute les algues sur les rochers.

 

Il y avait une méduse sur la plage. On l’a trouvée au bord de l’eau pas tout à fait morte. Amélie nous a expliqué qu’il existe des méduses qui piquent et d’autres qui ne piquent pas. Celle qu’on a vue sur la plage ne piquait pas , alors on l’a touchée : c’était gluant et dur au milieu. Cette méduse n’avait pas de bouche mais des bras pour prendre la nourriture dans l’eau, pour manger.

Après on a vu une mouette sur le sable et sur l’eau. Ensuite ,on est allé au moulin : on a vu la roue qui tourne avec l’eau de mer. Et cette roue fait tourner la pierre du moulin. A l’intérieur du moulin, il y a deux pierres, deux meules , la dormeuse et la coureuse. Le meunier met des grains de blé dans la trémie, ils descendent sur le toboggan et ensuite ils se font écraser par la coureuse. La cloche sonne dans la trémie quand il n’y a plus de blé.

Pour avoir de la farine blanche, il faut tamiser la farine grise. Et quand on a  beaucoup de farine au moulin, on la met dans des sacs.

 

On a appris beaucoup de choses à la Journée de la Rencontre : c’était bien !

Les grandes sections monolingues

 

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